C’est à partir des années 1930 que l’impact des réseaux cosmo-telluriques sur la santé a commencé à être étudié scientifiquement par des médecins comme le docteur Hartmann et le Docteur Peyré. Le docteur Peyré par exemple a étudié beaucoup de maisons dites “à cancer”, c’est-à-dire des maisons dans lesquelles plusieurs personnes y étaient successivement décédées suite à cette maladie. Il a constaté que de manière systématique ces personnes avaient dormi sur un croisement de réseaux telluriques. En localisant la position de ce croisement au niveau du lit, il était capable de déterminer le type de cancer dont la personne avait souffert.
Pour évaluer l’impact d’une perturbation géobiologique sur la santé, on distingue les zones dites “perturbées”, des zones dites “géopathogènes”. Ces zones correspondent dans les deux cas à des croisements de lignes cosmo-telluriques entre elles et/ou avec des perturbations géobiologiques comme les veines d’eau et les failles. Leur différence réside dans l’ampleur de leur impact sur la santé :
- Une zone perturbée va provoquer des troubles du sommeil, de la nervosité, de l’anxiété, des pathologies bénignes, …
- Une zone géopathogène va sur le court terme provoquer les mêmes troubles qu’une zone perturbée, mais sur une longue durée, elle pourra provoquer des pathologies beaucoup plus lourdes comme le cancer et des maladies dégénératives.
Parmi les zones perturbées, on trouve :
- un croisement Hartmann
- un croisement Curry
- un croisement Hartmann sur une ligne Curry, ou un croisement Curry sur une ligne Hartmann, qu’on appelle une zone active
- un croisement Hartmann et Curry superposés qu’on appelle un point étoile
- une veine d’eau
Parmi les zones géopathogènes, on trouve :
- un croisement du Grand Diagonal
- une faille
- un croisement Hartmann et/ou Curry sur une veine d’eau ou une faille
- un croisement de deux veines d’eau ou failles
- un croisement du Grand Diagonal sur une ou plusieurs veines d’eau
Les zones géopathogènes sont très agressives et provoquent des perturbations au niveau de notre cerveau et de notre système nerveux, ainsi qu’un stress oxydatif au niveau de nos cellules. Ces perturbations peuvent engendrer toute sorte de maladies. Les premiers signes sont des troubles du sommeil, de la fatigue chronique et des maladies chroniques.
Si certains individus semblent ne pas être affectés par ces agressions, dont l’intensité est très faible, ils ne passent toutefois pas pour autant à côté des désordres qu’elles occasionnent et peuvent du jour au lendemain tomber gravement malades sans que rien ne l’ait laissé présager. L’impact d’une agression peut se mesurer comme le produit d’une intensité par une durée. Dans le cas de la géobiologie, l’intensité est très faible, mais la durée est très longue. Comme elle frappe toujours au même endroit, elle pourra provoquer des désordres. On pourrait comparer son action au supplice chinois de la goutte d’eau qui consiste à laisser tomber à intervalle régulier une goutte d’eau tombe sur le front du supplicié qui en subit une altération physique et psychologique et qui finit par devenir fou. On connait aussi l’exemple des militaires qui marchent en cadence sur un pont qui entre en résonance avec la fréquence des pas et finit par s’écrouler.